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Depuis son accession à l’indépendance, en 1960, l’ancienne colonie française connue sous le nom de Haute-Volta puis de Burkina Faso a toujours oeuvré à la protection et à la promotion de son patrimoine culturel. Dès 1962, ses premiers gouvernants ont fondé le Musée national. Leur ambition : en faire la vitrine de la richesse culturelle nationale et un creuset de la construction d’une nation forte.
Partageant cette vision, les gouvernements successifs ont mis en place et renforcé les cadres destinés à protéger et promouvoir le patrimoine culturel du pays. C’est ainsi que le Burkina Faso est aujourd’hui reconnu tant pour la vivacité de son secteur culturel que pour la valorisation dynamique de ce secteur.
Le séminaire du 9 novembre dernier se proposait d’éclairer certains aspects parmi les plus remarquables de la richesse culturelle burkinabé, en évoquant notamment les masques du Burkina Faso dans les collections du Quai Branly, le site de Loropéni, classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, la dimension mandingue de la culture burkinabé, ou encore la Haute-Volta à travers les cartes postales coloniales et « La Haute-Volta avant la Haute-Volta » dans les cartes conservées aux Archives nationales d’Outre-Mer.

De la Haute-Volta au Burkina Faso, cent ans de patrimoine

De la Haute-Volta au Burkina Faso, cent ans de patrimoine

Collectif

228 pages

mai 2018

26.00 euros

( hors frais d'envoi )

978-2377010172

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